Too much information. Too much mind distorsion. How much fixed confusion? Praise the television! I don't think the world Is a safe place for me. Is it just the way It's supposed to be? I'm lost, I don't know what to think. Are we all ok? Are we sodominded? [refrain] En fractales mon esprit s'étend, Le Cielle tombe depuis trop longtemps. Plus rien à voir au devant, J'envie trop souvent les gens qui dorment. Austères dans nos idées, On se perd dans les vies des autres. Est-ce qu'on est vidés Nos rêves d'élucider? J'ai perdu ma foi Et ma foi je sais Que celui qui la trouvera N'aura rien gagné. Je sais Que le présent est passé, Le futur annulé, Cerveaux sodomisés. [refrain] En fractales mon esprit s'étend, Le Cielle tombe depuis trop longtemps. Plus rien à voir au devant, J'envie trop souvent les gens qui dorment. Révolte-toi mais ne le fais pas trop fort: Tu risquerais de blesser celui qui dort. Autour de toi on préfère confier son sort A tout ce qui naît dans le contour du décor.

Dieu est vrai, Je le sais, je le sens, Je le sais car je suis mort Décédé, Affalé dans mon sang Je lui ai offert mon corps. Il est temps d’enfin palper Le vrai salaire de la guerre ! Dieu est pur Biker en cuir moustache Dans le bruit de son tonnerre. Le Parjure Combattu sans relâche M’offrira l’or de mon Père : Du stupre à n’en plus bander Tant je leur passe au travers. [refrain] Et ces dames ouvrent toison A sec sur la culasse. Que le sang de mes cent plombs Inonde les chiennasses. Mothers I’d like to fill in With ma substance divine ! Dieu est grand Pour offrir à son fils Des biches affichant au compteur Quarante ans De bons et loyaux vices La main sur le dérailleur Quarante culs de cuir moulés Qui roulent dans la poussière, Avancent en rangs serrés En gémissant dans l’éther. [refrain] Et ces dames ouvrent toison A sec sur la culasse. Que le sang de mes cent plombs Inonde les chiennasses. Mothers I’d like to fill in With ma substance divine ! Aujourd’hui J’ai tiré dans les cieux Davantage que sur la terre Des mamys Qui montent deux par deux En se léchant l’annuaire, Des mamans Qui se frottent le feu Sur le plat de mon cimeterre, Des culs blancs (Mais j’y suis pour si peu) Tout droit sortis de l’enfer.

Bien sûr qu’ils étaient forts. Je te jure qu’en ce temps-là Les grands conquistadors Avaient la passion d’être rois. Ils avaient les mains sales Et le discours hurlé au sang. Ils avaient leur morale Et celles des autres en attendant. Tout ça c’est du passé, Aujourd’hui les gamins sont las, Gorgés jusqu’à gueuler De tous les Flaubert d’autrefois. Ils pensent être le soc Mais ils ne sont que le grain Qui germera en loques En éclosant de mille putains. Tous ces cons que l’on floque, Payés sans même savoir pourquoi, Toutes ces putes en cloque Qui gerbent devant nos dix doigts. C’était avant la fin, Du temps des couilles de nos pères, Avant le doigt divin Qui nous mena vers la lumière. Car un jour le bon grain Qui s’était paré de livrée Joignit enfin ses mains Pour se rassembler au café. Imaginez le choc De toute une génération Qui dut accueillir Nazbrok Et sa Groove Incorporation. [refrain] Groove Incorporation That’s what we talk about Elle t’ouvre enfin le coeur Et le donne à manger à ses chiens Groove Incorporation The one that digs your throat Elle ferme enfin tes peurs Jusqu’au lendemain Moi j’aurais voulu Avoir des balls en titane, Me réveiller dans la savane Avec le ventre à demi nu. Et puis sauver les bébés phoques Et puis les singes angoras Et tous ceux que je mange pas En écoutant Nazbrok. Pas le temps de montrer nos cocks Entre deux scènes de clip, Dans les tournantes à Bangkok On a gardé nos slips. Un ego trip à coups de rock C’est comme un rap qu’on pipe, A défaut de porter l’estoc Notre rapière s’agrippe. [refrain] Groove Incorporation That’s what we talk about Elle t’ouvre enfin le coeur Et le donne à manger à ses chiens Groove Incorporation The one that digs your throat Elle ferme enfin tes peurs Jusqu’au lendemain Ça va faire mal comme de l’acide Et crever tes abcès, La Groove répand son liquide Chez ceux qui l’enculaient. Tu crois qu’on en a terminé ? On s’échauffait seulement. Nazbrok allume le brasier En sifflotant gaiement. Un ego trip à coups de rock C’est comme un rap qu’on pipe. Pas le temps de montrer nos cocks Entre deux scènes de clip. A défaut de porter l’estoc Notre rapière s’agrippe. Dans les tournantes à Bangkok On a gardé nos slips. Que le grand Cric me croque Si tu peux plus respirer, Tu as oublié que Nazbrok Ça s’écoutait serré. La clique comme à l’époque Des cracks au crâne creusé, C’est de la coke en stock Qui va te faire bander. Que le grand Fric défroque Ceux qui cherchent à filer Loin de ceux qui se moquent Au Nazbrok Café. [refrain] Groove Incorporation That’s what we talk about Elle t’ouvre enfin le coeur Et le donne à manger à ses chiens Groove Incorporation The one that digs your throat Elle ferme enfin tes peurs Jusqu’au lendemain